L’attaque des missiles iraniens est une réponse aux accusations de soutien au terrorisme
Les forces iraniennes de Sepah ont bombardé avec six missiles à moyenne portée, dans la nuit du 19 juin 2017, les régions occupées par les terroristes dans la région syrienne de Deir ez-Zor et leur ont donné une réponse cinglante après les deux attentats revendiqués par Daesh à Téhéran.
Les terroristes avaient choisi cette ville au cœur de la montagne, pour le déploiement de leurs troupes après la chute d’Alep et de Mossoul, et y avaient installé leur poste de commandement et de munitions.
Cette attaque a été faite alors que le sénat américain est en train de voter une série nouvelle de sanctions contre l’Iran accusé de soutenir le terrorisme et contre les forces de Sepah, après les sanctions en 2007 contre les forces des Gardiens de la révolution et les personnes engagées dans le projet de missiles balistiques.
L’Arabie saoudite, mercenaire des États-Unis, avait aussi accusé l’Iran de développer le terrorisme dans la région alors que depuis des années, l’Arabie saoudite envoie des armes et de l’argent aux terroristes qui sévissent en Irak et en Syrie.
L’attaque des missiles iraniens est un avertissement à l’Arabie saoudite et aux gouvernements dictatoriaux de la région, qui devrait les dissuader de toute attaque contre l’Iran.
L’attaque des missiles iraniens est une réponse cinglante aux terroristes mais aussi un avertissement à Israël et à l’Arabie saoudite qui montre l’efficacité des missiles iraniens à longue portée, qui peuvent atteindre une cible à 2000 km et toutes les bases américaines dans la région. Les informations font état de 360 victimes dans le groupe de Daesh.
