L’ arbitre koweitien a expliqué : « Une lecture mélodique peut aider à transmettre le sens des versets mais il fait rester dans les limites des règles de phonétique et de lecture. Au Koweït, certaines écoles coraniques se servent des nouvelles technologies pour l’enseignement du Coran, avec des casques audio. Généralement, dans ces méthodes, on se sert des lectures de Mashawi et du cheikh Hosari. »
« L’apprentissage par internet est une bonne chose pour ceux qui n’ont pas accès à un professeur mais pour obtenir le certificat, il vaut mieux avoir un professeur. J’ai été arbitre dans plusieurs compétitions au Koweït et dans les pays du Golfe persique, et j’ai participé à des compétitions en Iran, en Malaisie, en Indonésie et au Liban. La création d’un comité internationale serait une bonne idée pour des échanges d’expériences et une meilleure organisation des activités coraniques, et je remercie les organisateurs de ces compétitions qui contribuent à l’union des musulmans», a-t-il déclaré.