Les assaillants ont jeté des pierres, des pièces d’ordinateur et des extincteurs en direction du bâtiment de l’ambassade iranienne, dont plusieurs vitres ont été brisées suite à l’attaque. Mais ce n’est pas tout, car, comme par hasard, les policiers sur place ont été dispersés juste avant le début de l’attaque sans aucune explication convaincante et n’ont repris leur poste qu’à la fin de l’assaut.
Que signifie ce comportement ? Cette attaque aurait-elle pu être réalisée sans l’accord d’un État français qui appuie les séparatistes kurdes non seulement en Irak ou en Turquie mais aussi en Syrie ?
André Chamy, juriste international, nous répond.
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presstv