« Le veto des États-Unis n'a rien d'étonnant », écrit le journal avant d’ajouter que « cette position de Washington a peut-être fait échouer la résolution mais le geste unanime internationale ne laissera pas tranquille Israël et les États-Unis ».
Pour l’auteur de l’article, les États-Unis de Trump et son allié israélien risquent l'isolement sur la scène internationale et de se faire passer pour des insurgés anarchistes, s'ils s'obstinent.
« Le veto américain signifie aujourd’hui que Washington doit s’opposer seul à une résolution qui suscite de plus en plus l’unanimité au sein de la communauté internationale », ajoute-t-il pour dire que cette fois-ci personne n’opposera son véto à l’ONU.
Cette isolation est encore « plus profonde », selon le journal, lorsque les États-Unis opposent leur veto à l’Assemblée générale de l’ONU devant 193 pays, tous contre la reconnaissance de Qods comme capitale israélienne. « Le Premier ministre israélien s'imaginait que d’autres pays soutiendraient aveuglement Trump », précise-t-il.
14 des 15 membres du Conseil de sécurité des Nations unies ont voté une résolution condamnant la décision de Donald Trump sur Qods.
presstv