Dans un communiqué publié jeudi, le porte-parole du MIN, Ibrahim Musa, a déclaré que toute tentative de conduire cheikh Zakzaky et sa femme ailleurs que dans un hôpital suffisamment équipé pour répondre à leurs besoins médicaux revient à les punir davantage.
Selon le communiqué, c'est dans cette même prison que certains survivants du génocide de Zaria de décembre 2015 sont décédés faute de soins médicaux.
Le communiqué ajoute : « Nous dénonçons vivement la hausse des pressions sur le cheikh Zakzaky et son épouse qui se trouvent dans une situation défavorable et exigeons sa libération immédiate et sans condition. »