Déclarations de Roger Garaudy sur l’Imam Ali (as)
Roger Garaudy avait déclaré : « Il y a plusieurs années, alors que j'enseignais à la Sorbonne, une étudiante est venue me voir et m'a dit qu’elle lisait régulièrement mes livres et mes articles, et suivait mes conférences, et a ajouté : « Le point qui a retenu mon attention est que vous parlez toujours d'un musulman nommé Ali. Qui est cet Ali et pourquoi vous a-t-il autant influencé ? »
Je lui ai dit qu'Ali (AS) était le cousin et le gendre du Prophète de l'Islam, le Prophète Mohammad (as), et un de ses commandants militaires. Je lui ai demandé ce qui lui arriverait si une voiture la heurtait à grande vitesse, en traversant la rue. Je lui ai dit : « Cet homme, Ali (AS), a été frappé violemment à la tête par une épée pendant la prière, puis allongé sur son lit de mort, a fait son testament à son fils aîné, Hassan (AS), testament qui contient les concepts les plus élevés que l'humanité ait entendus tout au long de son histoire ».
L'étudiante, très impressionnée, a demandé : « Qu'a-t-il dit dans son testament ? »
Garaudy a répondu : « Sur son lit de mort, Ali (AS) a dit à son fils Hassan : « Mon fils ! Soyez bon avec les captifs (il parlait de celui qui l'avait frappé à la tête avec son épée). Par les droits que j'ai sur vous, je vous demande d'avoir pitié du captif et d'être bon et compatissant avec lui. Donnez-lui ce que vous mangez et ce que vous buvez. Ne lui attachez pas les mains et les pieds. Si je meurs, ripostez avec un seul coup. Ne le brûlez pas et ne le mutilez pas, car j'ai entendu le Messager de Dieu, que la paix soit sur lui, dire : « Evitez de mutiler même le chien sauvage ». Si je survis, je déciderai moi-même ce que je ferai de lui. Je vous recommande à tous deux, la piété divine, de ne pas rechercher le monde et de ne pas regretter d'avoir perdu quelque chose des possessions matérielles. Dites toujours la vérité et travaillez pour la récompense divine, aidez les opprimés et soyez l'ennemi des oppresseurs ... ». J’ai récité d’autres parties du testament d'Ali à la jeune étudiante française qui écoutait en essuyant ses larmes ».
Le présentateur a conclu en ces termes : « Accuser les musulmans de violence et d’encourager la violence est une des accusations les plus odieuses au monde ».
