Des milliers de Britanniques célèbrent le 74e anniversaire de la Nakba à Londres
De tels événements prennent de l'ampleur et les appels au démantèlement du dernier apartheid sur terre se font de plus en plus entendre.
Des atrocités sont commises quotidiennement dans les territoires palestiniens occupés ; du nettoyage ethnique au meurtre. Pendant des décennies, les médias occidentaux ont tenté de minimiser la gravité de la satiété, mais aujourd'hui, avec les médias sociaux et tant de caméras enregistrant la folie, il est devenu presque impossible d'enterrer la vérité.
Quelques jours plus tôt, une éminente journaliste palestinienne était décédée après avoir été abattue au visage par les forces israéliennes. Elle faisait un reportage sur un raid de l'armée israélienne en Cisjordanie. Sa mort a provoqué l'indignation et des scènes de ses porteurs de cercueil battus par des Israéliens ont fait la une des journaux. Quelque 229 groupes de défense des droits ont demandé qu'Israël soit tenu responsable de ce qu'ils appellent un assassinat prémédité.
De telles manifestations sont un élément clé de la vie londonienne, mais le gouvernement conservateur tente d'interdire des actions comme celle-ci.
Une série de nouvelles mesures limitant les manifestations publiques ont récemment été ajoutées au projet de loi déjà controversé sur la police. Il pourrait également devenir illégal de boycotter, de désinvestir et de sanctionner des entités comme Israël, privant ainsi les organismes publics de leur droit de prendre des décisions éthiques.
C'est l'ère de l'information, et il reste à voir comment le Royaume-Uni espère conserver sa face démocratique, maintenant que son emprise sur les médias s'est relâchée.
PressTV
