Selon Khaleej Times, des milliers de partisans, vêtus de t-shirts « No halal », ont répondu à cet appel, marquant une escalade des tensions ethniques entre la majorité bouddhiste et la minorité musulmane, qui représente 10 % de la population.
Le secrétaire du Bodu Bala Sena, Galaboda Aththe Gnanasara Thero, a également demandé des lois similaires à celles des musulmans autorisant la polygamie, et a dénoncé ce qu'il considère comme une menace posée par les « extrémistes musulmans » pour la communauté bouddhiste.
Le groupe a adopté une résolution en 10 points visant à interdire la certification halal, le travail des femmes sri-lankaises au Moyen-Orient, et les financements étrangers pour la construction de mosquées.