Les rebelles syriens avec l'aide des pays étrangers, ne reculent devant rien pour affaiblir le gouvernement de Bachar el-Assad et tentent de détourner l'éveil islamique vers des actes de terrorisme économique avec l'aide d'Al Qaeda.
Les sanctions des pays européens encouragés par le régime sioniste contre le peuple syrien, ont entrainé des troubles dans les activités médicales et les milieux bancaires. Les petits investisseurs et les classes moyennes ont aussi souffert des sanctions des pays européens qui avec certains pays arabes, envoient des armes aux rebelles.
Les milieux politiques et sociaux de Syrie soutiennent le gouvernement de Bachar el-Assad contre les rebelles qui assassinent la population avec le soutien financier de pays européens et arabes, producteurs de pétrole.
Les sanctions ont aussi eu des effets négatifs sur les réseaux d'eau et d'électricité, et la production agricole. Le refus du Canada, des Etats-Unis et de l'Europe d'acheter du pétrole syrien a rendu la vie difficile en Syrie. Ces sanctions sont le signe de l'existence d'un terrorisme d'état contre les peuples qui luttent pour leur liberté et ont offert de nombreux martyrs dans la lutte contre le sionisme.
Nous ne devons pas oublier que Damas a demandé aux Nations Unies de condamner le soutien aux rebelles de certains de ses membres et de certains membres permanents du Conseil de sécurité.
Le soutien des pays occidentaux aux rebelles et la montée de l'insécurité dans ce pays, exigent une union et une résistance des forces politiques et des courants indépendants.
Tant que la Turquie et d'autres pays qui soutiennent les rebelles, continueront à leur envoyer des armes et de l'argent, les plans des Nations Unies resteront inefficaces et les groupes opposés à la paix en sortiront renforcés.
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