Il a dit : « Cette idéologie occidentale de « l’égalité entre homme et femme » qui est un beau slogan, s’est développée dans les pays islamiques. Selon cette idéologie, les femmes doivent faire tout ce que font les hommes, travailler, combattre et le reste. N’est-il pas temps de réfléchir dans les centres universitaires des pays islamiques ? Certaines règles en islam sont là pour l’organisation des tâches et l’islam a mis la charge des dépenses du foyer sur les épaules de l’homme. Dans un foyer où l’homme et la femme travaillent, qui s’occupe de la maison et de l’éducation des enfants ? »
« L’homme, a-t-il dit, est responsable de son épouse, il faut donc qu’il sache où elle va et ce qu’elle fait. La responsabilité du juge est aussi très lourde, il se peut qu’une femme dans notre société, connaisse les lois mieux que les hommes qui sont juges et personne n’interdit aux femmes d’être avocate. Par contre l’islam a imposé aux hommes le devoir de légiférer. »
L’Ayatollah Mohamad Javad Fazel Lankarani a souligné : « Tout ne peut pas être envisagé dans un contexte d’égalité. Certains choix sont nécessaires pour l’organisation de la vie. Nous n’avons pas de question en suspens au sujet des femmes dans l’islam et toutes nos réponses sont logiques. Dans la vie conjugale, les deux doivent respecter certaines règles dans leur façon de parler, ces règles doivent être respectées dans le dialogue et les regards », a-t-il dit.
3202412