Il a indiqué : « Les journaux libanais agissent ainsi pour éviter des conflits qui influencent la vie politique. Malheureusement, certains politiciens cherchent à créer des conflits. Les journaux qui appartiennent à des groupes religieux déterminés, aux diverses occasions religieuses, proposent des articles.»
Le rédacteur en chef du journal Al Safir a souligné : « Les médias ont le devoir d’informer sur le danger que représentent les groupes takfiristes et c’est ce qu’ils font au Liban. Aujourd’hui, les pays qui donnaient des informations sur les activités de ces groupes, ont changé de politique et beaucoup d’écrivains et d’intellectuels défendent l’islam et le chiisme.»
« Seyed Hassan Nasrollah, secrétaire du Hezbollah libanais, est un héros de la résistance à qui les médias libanais, récemment, manifestent un grand respect. Notre journal dès le début, a défendu la résistance à l’occupation israélienne et condamné la politique d’arrogance des États-Unis, et a soutenu la résistance islamique et nationale contre les occupants », a-t-il dit.
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