Le régime saoudien est hostile à tous les pays qui dénoncent Israël et la politique américaine

Le chef de Ansarallah yéménite a affirmé que « tout ceux qui exprime leur hostilité à Israël ou qui dénoncent les politiques américaines , ceux-là sont une cible de la part du régime saoudien ».

S’exprimant, lors  d’un discours prononcé à l’occasion de la commémoration annuelle du Martyr, al Houthi a  souligné que «l’agression saoudienne ciblant les humains et la pierre au Yémen et le patrimoine du pays et de son histoire», et interrogé sur l’Arabie Saoudite qui a frappé des cibles au Yémen et «hostilité» du peuple yéménite.

Et de poursuivre : » L’Arabie saoudite cherche à détruire et à diviser les pays de la région. Jusqu’à présent, elle n’a opposé aucune résistance au projet américano-israélien. Si vous observé les agissements de l’Arabie saoudite dans la région, vous vous apercevrez que ce pays s’oppose aux ennemis d’Israël ».

Il a accusé  » des  puissances régionales et mondiales d’envoyer leurs experts militaires pour gérer l’agression contre le Yémen », indiquant que « les Etats-Unis et Israël ne seront jamais des défenseurs des droits des peuples.  D’ailleurs, des forces régionales exécutent les agenda américain et israélien dans la guerre contre le peuple yéménite ».

Al Houthi a estimé que  »  son mouvement est conscient de la nature de la bataille contre le peuple yéménite, comme il est conscient de  la gravité d’ignorer ses conséquences ».

Le chef du mouvement Ansarullah, Abdel Malek al Houthi a assuré que « malgré le blocus imposé contre le peuple yéménite, ce dernier ne cesse de  développer ses capacités militaires à un rythme surprenant » soulignant que  » le peuple yéménite a commencé à  fabriquer ses propres drones, des drones qui jouiront d’une excellente efficacité dans  dans la lutte contre l’agression saoudienne, a rapporté la chaine satellitaire arabe al Mayadeen.

 «La défaite des agresseurs s’explique par la résistance du peuple yéménite. Même leurs armes sophistiquées n’ont pas pu les sauver », a-t-il martelé.

Al Manar