Selon PressTV, le NAAS, dans un communiqué, a dénoncé l'utilisation par le régime saoudien de la peine de mort comme moyen de liquidation politique et a critiqué ses tentatives de limiter les légitimes demandes publiques de droits politiques et civils, telles que la manifestation pacifique ou la liberté d'expression.
Le groupe d'opposition a déploré que des dizaines de jeunes citoyens saoudiens - dont le dernier était Mustafa bin Hashim bin Issa Al Darwich de la région à majorité chiite de Qatif dans la province d'Al Sharqiya - ont été exécutés par le régime de Riyad sans aucune accusation politique et à la suite des procès inéquitables.
"Malgré l'engagement des autorités saoudiennes d'arrêter le recours à la peine de mort contre les mineurs, l'approche pénale des autorités rappelle l'assassinat brutal et extrajudiciaire du célèbre journaliste [dissident] Jamal Khashoggi", a souligné NAAS.