Le livre « Qods avant l'Islam », dénonciation des mythes du sionisme
Ce livre de Zidane Kafafi a été publié par les éditions « Dar Al-Shorouk » d’Amman, capitale de la Jordanie, présente des textes de la Torah et des monuments historiques », et dénonce les mensonges du régime sioniste.
Le premier chapitre parle de la situation géographique de Qods, le deuxième chapitre, des recherches sur le terrain à Jérusalem, du début de la seconde moitié du XIXe siècle à nos jours, le troisième chapitre, des traces des premiers humains dans cette région, qui remontent à environ 250 000 ans, avec les premiers outils trouvés dans la région de Sheikh Jarrah Qods, le quatrième chapitre, de l'existence de Jérusalem dans les sources historiques écrites trouvées en Égypte et en Mésopotamie. Le cinquième chapitre étudie des textes de la Torah, dont le récit de la Genèse qui parle de la migration d'Abraham du sud de l'Irak et de son installation dans le pays de Canaan, et les points de vue d'un certain nombre d'érudits sur cette partie de la bible.
Les sixièmes et septièmes chapitres du livre traitent du sionisme et du nombre des juifs dans cette terre sainte, d’après la Torah.
Dans le huitième chapitre, l'auteur évoque l'histoire de la Palestine indissociable de l'histoire du Levant, et précise que les gens ont vécu dans cette région sans interruption de la préhistoire à nos jours.
Le neuvième chapitre traite des événements de la ville de Jérusalem dans les années 1200 à 923 avant JC, et examine les textes de l'Ancien Testament en particulier sur les deux voyages de la Genèse et de l'Exode. Ce chapitre décrit également comment David a pris Jérusalem aux Jébuséens (une tribu de Cananéens). Ce chapitre réfute les sources citées par les Israéliens pour leur appartenance à la famille de David, qui croient que Jérusalem est la ville de Salomon, qui devint plus tard la capitale de l'état juif conquise par le roi chaldéen Nabuchodonosor en 586 avant JC.
Le chapitre 10 de ce livre concerne l’histoire de Jérusalem après la conquête babylonienne de la ville.
Le onzième chapitre explique l'influence de la civilisation et de la culture grecques, et le remplacement par l'architecture grecque de l'architecture orientale, et l'utilisation du grec comme langue officielle de la région.
Le douzième chapitre examine le rôle des Romains dans la reconstruction de Jérusalem, en particulier sous le règne d'Hérode le Grand.
Le treizième chapitre présente l'histoire et les œuvres d ‘Aelia Capitolina de 135 à 324 après JC, construite sous l'empereur Hadrien sur le site de Jérusalem, sur la base de l'urbanisme gréco-romain.
Le quatorzième chapitre concerne les résultats des fouilles archéologiques menées dans la ville de Quds, et la découverte de grands monuments dont certains sont encore visibles de nos jours.
A la fin du livre, l'auteur conclut que les habitants n'ont jamais quitté cette région depuis le quatrième millénaire avant JC, et que cette ville, comme d'autres villes du pays de Canaan, a changé et évolué jusqu'à nos jours, bien qu'elle ait toujours été dominée par des forces étrangères et qu’elle sortira la tête de ses décombres pour être reconstruite par ses enfants.
