La colère des sionistes face au jeu vidéo "Les Chevaliers d’Al-Aqsa"
Développé par Nidal Najm, un créateur brésilien musulman, ce jeu met en scène un jeune Palestinien fictif, Ahmed Al-Falastini, qui lutte contre l’occupation après avoir perdu sa famille et passé cinq ans en prison.
Depuis sa sortie initiale en 2022, le jeu a gagné en popularité, surtout après sa mise à jour récente inspirée des événements de la "Tempête d’Al-Aqsa" du 7 octobre 2023.
Le jeu a été retiré de plusieurs plateformes soutenant le régime sioniste, notamment en Allemagne, Australie, Royaume-Uni et Autriche, où des efforts pour l’interdire se multiplient. Pourtant, Les Chevaliers d’Al-Aqsa continue de captiver un large public, en particulier parmi les Palestiniens et leurs alliés.
Najm a expliqué que son objectif est de contester les stéréotypes négatifs sur les Arabes et les Palestiniens souvent véhiculés par les jeux occidentaux.
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Pour lui, ce jeu est une forme de résistance culturelle et un outil éducatif pour sensibiliser les jeunes générations à la cause palestinienne tout en offrant une expérience interactive unique.
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Malgré les controverses, ce jeu reste un symbole de lutte et de résilience.
