Cet événement s’ouvrira le 27 avril à Téhéran, avec une cérémonie officielle en présence de personnalités politiques comme Mohammad-Bagher Ghalibaf et Abbas Araghchi.
Les 28 et 29 avril, l’université Baqir al-Olum de Qom prendra le relais pour l’organisation de panels spécialisés.
Selon Hadi Sajjadi, vice-président aux affaires internationales de cette université, ce congrès vise à proposer une lecture critique du modèle occidental des droits de l’homme, tout en élaborant une nouvelle approche basée sur les valeurs des civilisations orientales et religieuses.
Il précise que le terme « Orient » désigne ici une réalité culturelle, non géographique, englobant les peuples dont les droits ont été marginalisés.
Quatre axes majeurs structureront les débats : la critique scientifique et pratique du modèle occidental, l’importance des droits fondés sur la solidarité, le rôle fondateur des civilisations anciennes, et la responsabilité sociale.
Cinquante invités venus de 26 pays participeront à l’événement. Un site trilingue (persan, arabe, anglais) est disponible pour plus d’informations.
La clôture du congrès aura lieu le 30 avril à Qom, suivie d’une cérémonie symbolique à Ispahan où des arbres seront plantés au nom des délégations participantes.