Rencontre avec les associations culturelles musulmanes
France(IQNA)- À Vendeuvre-sur-Barse, le local de la rue des Perches comprend une salle de prières pour les hommes, une autre pour les femmes mais aussi un lieu de rencontre avec salle de billard et une épicerie turque Il ya quatre salles de prières musulmanes sur la Côte-des-Bars, gérées par quatre associations culturelles.
C'est en ces termes qu'Ömer Kuran, président de l'association culturelle turque de Vendeuvre-sur-Barse, accueille au siège de l'association, rue des Perches. Un endroit entièrement rénové par les adhérents et comprenant un lieu de rencontre avec salle de billard et épicerie turque, mais aussi, à l'étage, deux grandes salles de prières : une pour les hommes et une pour les femmes avec une entrée séparée.
Encore au-dessus, se trouve un studio servant notamment à loger l'imam qui se déplace de Troyes pour officier la prière aux grandes occasions.
N'ayant pas les moyens de payer un imam, le reste du temps, ce sont les adhérents eux-mêmes, et notamment M. Kuran, qui dirigent la prière. En effet, afin d'entretenir les locaux et de participer aux frais de fonctionnement divers (eau, électricité), chacun des quarante-cinq adhérents verse une cotisation.
Une fois toutes les factures réglées, il ne reste souvent pas grand-chose et M. Kuran regrette parfois de ne pas voir plus de musulmans cotiser pour maintenir cette salle de prières. Même si elle est parfaitement aménagée, il aimerait pouvoir acquérir de nouvelles décorations.
L'association culturelle gère un local, situé rue Nicolas-Bourbon et comprenant une salle de prière pour les hommes, ainsi qu'une salle qui était en premier lieu destinée à accueillir des cours coraniques mais qui aujourd'hui sert de salle de prières pour les femmes.
Le premier étage est utilisé par ailleurs pour loger l'imam envoyé et employé par le gouvernement turc dans le cadre d'un contrat de quatre ans.
Ainsi, Yilmaz Recai, arrivé l'année dernière, est là pour aider les familles dans toutes leurs difficultés, que ce soient des problèmes familiaux, financiers ou de relations avec leurs enfants. Il fait le lien entre l'association et les familles, mais aussi entre les familles et le consulat turc à Paris. « Il a un rôle d'imam en même temps. Il y a des prières qu'on ne peut pas faire tout seul », indique Nevzat Polat.
Si les associations turques regroupent le plus d'adhérents, il existe également deux autres associations culturelles islamiques à Bar-sur-Aube et à Bar-sur-Seine (lire par ailleurs) et qui comptent à elles deux une trentaine de membres.
Source: lest-eclair
Encore au-dessus, se trouve un studio servant notamment à loger l'imam qui se déplace de Troyes pour officier la prière aux grandes occasions.
N'ayant pas les moyens de payer un imam, le reste du temps, ce sont les adhérents eux-mêmes, et notamment M. Kuran, qui dirigent la prière. En effet, afin d'entretenir les locaux et de participer aux frais de fonctionnement divers (eau, électricité), chacun des quarante-cinq adhérents verse une cotisation.
Une fois toutes les factures réglées, il ne reste souvent pas grand-chose et M. Kuran regrette parfois de ne pas voir plus de musulmans cotiser pour maintenir cette salle de prières. Même si elle est parfaitement aménagée, il aimerait pouvoir acquérir de nouvelles décorations.
L'association culturelle gère un local, situé rue Nicolas-Bourbon et comprenant une salle de prière pour les hommes, ainsi qu'une salle qui était en premier lieu destinée à accueillir des cours coraniques mais qui aujourd'hui sert de salle de prières pour les femmes.
Le premier étage est utilisé par ailleurs pour loger l'imam envoyé et employé par le gouvernement turc dans le cadre d'un contrat de quatre ans.
Ainsi, Yilmaz Recai, arrivé l'année dernière, est là pour aider les familles dans toutes leurs difficultés, que ce soient des problèmes familiaux, financiers ou de relations avec leurs enfants. Il fait le lien entre l'association et les familles, mais aussi entre les familles et le consulat turc à Paris. « Il a un rôle d'imam en même temps. Il y a des prières qu'on ne peut pas faire tout seul », indique Nevzat Polat.
Si les associations turques regroupent le plus d'adhérents, il existe également deux autres associations culturelles islamiques à Bar-sur-Aube et à Bar-sur-Seine (lire par ailleurs) et qui comptent à elles deux une trentaine de membres.
Source: lest-eclair
