Masjedjame'i a souligné : « Si nous arrivons à 1% des revenus culturels mondiaux, ces revenus en devises seront supérieurs à nos ventes de pétrole. L’Iran a de grandes capacités dans le domaine coranique et artistique, dont nous devons profiter. Nous pouvons organiser à Gheshm de grandes expositions internationales comme cela se fait dans les autres pays du Golfe persique, et attirer les touristes étrangers.»
« Le Coran est considéré par certains comme un livre de morale mais il est aussi une source artistique dans différents domaines calligraphiques et musicaux. Nous devons profiter de l’occasion qui nous a été donnée de discuter avec le monde, pour présenter l’art islamique iranien dans le cinéma, les lectures et les tableaux coraniques, dans nos relations culturelles, sociales et même économique avec les autres pays», a-t-il dit.
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