Ce jeune frère qui suit une formation de imam, nous explique que chacun a son histoire propre en apprenant le Coran : « c’était mon pays d’origine, mais après Dieu merci, je me rends compte que je n’ai pas perdu mon temps, après patience et endurance, il n’y a que du bien ».
Bien que le fait d’être séparé de sa famille fut une dure épreuve, le jeune ne regrette rien.
« Sur le coup je ne me suis pas rendu compte que je l’avais fini, (…) c’est chaque jour que je découvre que j’ai fini le coran » nous explique-t-il. Epanoui, le jeune frère nous explique aussi que le Coran se partage avec ses proches, ses amis, sa femme, ses enfants.
Il finit par dire que sa vie sans le Coran aurait été comme un cauchemar, une vie difficile à imaginer :« Comment j’aurai pu vivre sans ça ? » se demande-t-il.
ajib