
Selon le site voi.id, chacun de ces personnages a apporté une perspective complémentaire sur la politique, la spiritualité et l’économie, illustrant le visage pluraliste de l’Indonésie.
Jusuf Kalla, ancien vice-président de la République, a rappelé que « la paix n’est pas seulement l’absence de guerre, mais le courage de choisir le dialogue et la solidarité ». Il a ajouté que la mosquée devait devenir un centre de développement moral et social.
Le ministre des Affaires religieuses, Nasaruddin Umar, a mis en garde contre la politisation de la religion, estimant que « la plus grande menace pour la paix n’est pas la religion, mais son abus ». Il a invité le monde à voir l’Indonésie comme un « laboratoire de l’harmonie ».
Enfin, Arsjad Rasjid, président du KADIN, a souligné que l’inégalité économique est une source de conflit et plaidé pour une « économie civilisée » fondée sur la solidarité humaine et le développement communautaire.