« Certains n’ont pas encore compris le pouvoir de l’art et du cinéma. Les réactions de certains milieux religieux au film de Madjid Madjidi, ressemblent aux réactions au film« le message » du cinéaste syrien, le défunt Mostafa Akkad, alors que le film de Madjid Madjidi dans aucune séquence, ne montre le visage du Prophète (PSL). Ce film présente les années de l’enfance du Prophète (PSL) jusqu’à 13 ans, et ses relations avec ses proches. Les évènements décrits dans ce film, correspondent aux livres chiites et sunnites, notamment l’Histoire de Tabari, sans faire allusion au fait que cet enfant deviendra un prophète qui transformera le monde. Les réactions de ces milieux religieux sont politiques. Ils se sont opposés à la diffusion du film uniquement parce qu’il s’agit d’un film iranien. Il est regrettable que certains milieux religieux s’opposent à l’utilisation des nouvelles technologies dans la présentation pour les jeunes, de la grandeur de l’islam », a-t-il dit.
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