La sentence arrête aussi l'impression et la distribution de ceux-ci après qu'il ait été prouvé qu'il y avait eu des violations dans la disposition des pages et des sourates qu'ils contenaient pendant le processus d'impression.
Selon le journal, le professeur Hedi Oubaidi avait déposé un dossier urgent contre une maison d’édition spécialisée dans la publication et la distribution, et ce pour une mauvaise impression du saint Coran, car elle a comporté des violations liées à l'organisation des sourates et des pages.
Dans sa plainte, Oubaidi a demandé d’arrêter d’imprimer et de distribuer les livres du saint Coran en raison des violations citées et de retirer les lots qui avaient été distribués, que ce soit dans les librairies ou les mosquées.
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