Asieh Ebrahimi, jeune enseignante du Coran, de la ville de Genaveh, près de Buchehr, au Sud de l’Iran, venait de finir la mémorisation de tout le Coran. Elle était connue pour ses efforts sincères dans la formation de ses élèves.
Zahra Tangestani, directrice de l’Institut Mechkat al Hoda à Genaveh a dit : « Elle enseignait le Coran. Elle parlait peu et était toujours calme. Le halal et le haram étaient deux notions importantes chez elle. Elle aimait beaucoup le verset «فَمَنْ يَعْمَلْ مِثْقَالَ ذَرَّةٍ خَيْرًا يَرَهُ وَمَنْ يَعْمَلْ مِثْقَالَ ذَرَّةٍ شَرًّا يَرَهُ».
« Asieh Ebrahimi était pure et n’aimait pas participer aux compétitions coraniques. Elle n’avait pas mémorisé le Coran pour les compétitions. Elle ne laissait pas l’hypocrisie avoir une place dans ses actions », a-t-elle souligné.
Une enseignante qui ressemble beaucoup au Coran
L’une de ses élèves, Zahra Moradi dit : « Pendant des années, elle nous a enseigné la Parole Divine. Quand j’ai commencé à apprendre le Coran chez elle, je l’ai présenté à mes amies comme « une enseignante qui ressemble beaucoup au Coran », je remerciais beaucoup Dieu pour l’avoir dans ma vie.