Selon le site d’information ech-chaab.com, Bitam a commencé à se familiariser avec le Coran dès l’enfance. Il a mémorisé l’intégralité du Livre Saint à l’âge de 12 ans, l’a calligraphié en belle écriture marocaine et a fait un poème de 3000 vers sur l’histoire de l’Irak.
Alawah Bitam a appris la calligraphie en 3 ans et a mené des recherches sur son esthétique. Il considère cette écriture comme la suite et le développement de l’écriture koufique qui est pour lui l’une des plus belles écritures du monde et symbole de la civilisation arabe et islamique.
Né en 1958, Alawah Bitam a commencé à mémorisé le Coran dès 6 ans et à 12 ans il fini son démarche. Il a fréquenté dès lors de nombreuses écoles, mosquées et des zawia pour évaluer et apprécier les précieux ouvrages littéraires et religieux qui s’y trouvaient.
Il a passé de longues années de sa vie à compléter son savoir chez les faqihs et professeurs de sa ville.
Il a souligné que l’écriture arabe marocaine faisait partie des plus importantes écritures islamiques jouissant des attraits esthétiques variés. Il existe, selon lui, une sorte d’identité arabe et islamique dans cette écriture où se lit un sens artistique et esthétique.