Selon le journal koweïtien Al-Rai, un responsable de la sécurité a déclaré que la jeune femme qui n'avait pas plus de 30 ans et travaillait dans une école étrangère au Koweït, avait déclaré lors de l'interrogatoire, que le tatouage sur sa jambe ne contenait que quatre mots d'un verset coranique et qu’elle l’avait fait il y a deux ans, sans savoir qu’il s’agissait de mots du Coran.
L’accusée a été libérée sous caution après avoir signé l’engagement de retirer le tatouage.