Selon le site d’information youm7, il a indiqué : « Mon père était élevé à Hermonthis et avait mémorisé le Coran à l’âge de 10 ans. Au début des années 1950, il s’est rendu à la Mosquée Sayeda Zeynab et a récité le Coran. Les gens ont favorablement accueilli sa lecture, puis il est entré à la radio égyptienne. »
Il a souligné : « Il y a des gens qui récitent le Coran avec une intention sincère, leur voix vivra tant que Dieu veut. Mon père avait une voix spécifique. Dieu lui avait donné une puissance extraordinaire dans la lecture et le tajwid. Quand les gens, à travers le monde, l’entendent réciter le Coran, celui-ci pénètre leur cœur. »
Tareq Abdul Basit a précisé : « Les non musulmans qui entendent la récitation de mon père, se sentent influencés par sa voix, qui laisse un bon effet sur eux. »
« Parfois mon père parcourait 5 km pour entendre Cheikh Mohamed Rafat réciter le Coran. Il était très intéressé à la lecture du Coran par les grands maîtres de la récitation », a-t-il souligné.
A souligner que le mardi 30 novembre coïncidait avec le 33e anniversaire de la disparition du cheikh Abdul Basit Abdul Samad, grand récitant égyptien.
Voici à cette occasion, une ancienne vidéo de la récitation des versets 15 et 16 de la sainte sourate Fajr par Abdul Basit.