L’Hojat ol-islam, Hamid Shahriari, dans les sermons de la prière de l'Aïd al-Adha, à l'association chiite « Fatemeh Al-Zahra (sa) » de Moscou, a expliqué la signification éducative de chaque rituel du Hajj et a déclaré : « Bien que cette spiritualité puisse être pratiquée tout au long de l'année, elle est obligatoire à un certain moment et à un certain endroit, et le flot de pèlerins qui se déplace de Mena à La Mecque, est le rappel de la Grande Résurrection et montre que l'Islam est une religion sociale.
L'islam considère la liberté comme une valeur mais les règles islamiques définissent la liberté dans les limites des commandements et des interdictions de Dieu, Tout-Puissant, énoncés dans le Coran et la Sunna du Prophète (as) et des Ahl al-Bayt (as).
Mais le libéralisme, tout en exprimant son mépris pour les commandements divins, n'impose aucune restriction à la liberté humaine, reconnait l'homosexualité, l'avortement et les relations illégitimes, et essaie de transformer cette spiritualité sociale en une société de débauche et de désobéissance ».
L’Hojat ol-islam, Hamid Shahriari, a visité la Fondation Ibn Sina pour les études islamiques, et a rencontré les directeurs de ce centre lors de son voyage à Moscou. Lors de cette réunion, ils ont abordé les moyens de développer la coopération entre le Centre mondial pour le rapprochement des écoles islamiques et la Fondation Ibn Sina pour les études islamiques, et les échanges culturels bilatéraux.
Lors de cette réunion, un rapport a été présenté sur les travaux et les livres qui ont été publiés par ce centre.
Shahriari a considéré l'attention au livre comme un des points clés du développement de la littérature irano-islamique, et a récompensé les directeurs du centre pour leurs efforts dans la présentation des connaissances islamiques et de la littérature persane.