« Ces inscriptions n’ont rien à voir avec une quelconque idéologie politique, religieuse ou philosophique », certifie le commissaire Salaün. « Leur auteur s’est lui-même rendu au commissariat ce vendredi pour s’en expliquer. Le cadre de ces dégradations est celui d’un différend personnel », explique le patron de la police de Quimper, cherchant visiblement à déminer une situation que l’on devine sensible. Mercredi, les riverains de la mosquée de Penhars ont pu lire un message « Que dieu maudisse cette maison du diable Fils de barbares ». L’auteur sera présenté au procureur de la République habilité à prononcer une sanction.
Maire délégué au quartier de Penhars, Claude Le Brun veille aussi à garder la tête froide. « J’ai déjà échangé avec le responsable de la mosquée. Je vais le rencontrer la semaine prochaine ».
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