La valeur humaine n’est pas liée au sexe
Les valeurs désignent la dignité et la position d'un être humain, d'un point de vue individuel, social, politique et divin.
Dans le débat sur les valeurs, nous avons commis une erreur et depuis plus de deux décennies, certains pensent que quelqu'un qui a plus de droits, a plus de valeur.
Dans le Coran, de nombreuses questions ne sont pas spécifiques à l’homme ou la femme, les adresses spécifiques sont liées à des commandements spécifiques, mais nous n'avons pas ces détails dans la discussion sur le monothéisme, la prophétie et la résurrection.
Dans l'Islam, l'intérêt réel de l'homme est pris en compte, ce qui peut ne pas plaire à la tout le monde, en islam, la création est intentionnelle et les différences qui existent dans la création, sont déterminées et sages.
La mesure de la dignité et de la valeur humaines inclut la foi, la piété et les actions justes, et il n'y a aucune différence entre les hommes et les femmes, c'est-à-dire que les hommes et les femmes peuvent atteindre le plus haut niveau de foi et d'actions.
Dans un hadith, l'Imam Zaman (as) considère Hazrat Zahra (sa) comme un exemple de bonté et dans le Coran, Dieu, Tout-Puissant, fait de la femme de Pharaon un exemple pour tous ceux qui ont cru.
L’un des fondements du féminisme est l'humanisme qui considère l'humain comme un être matériel et terrestre, et le centre de la réflexion, et le plaisir comme le but de la vie.
La laïcité qui signifie la séparation de la religion de la politique, éloigne la religion de la famille et de la société, le relativisme, qui est la principale conséquence du libéralisme rejette toute valeur absolue et ne reconnait que le bénéfice et les idées personnelles, et l’individualisme est centré sur l’être humain.
Dans le féminisme, il existe une similitude et une égalité des droits des hommes et des femmes dans tous les domaines, personnels, sociaux, politiques et culturels mais dans l'Islam, les droits et les devoirs des hommes et des femmes sont différents et équilibrés.
Extrait d’un discours de Farzaneh Hakimzadeh
