Israël ne respecte aucun accord
Hossein Ravioran, expert des questions du Moyen-Orient et de la Palestine, a déclaré : « Il n'existe aucune loi qu'Israël n'ait pas violée. Ce régime a décidé de se retirer de Gaza en 2005, mais il a assiégé Gaza et depuis plus de 16 ans, les médicaments entrent dans cette zone au compte-gouttes.
La résolution 181 avait donné 44 % de la Palestine aux Palestiniens, 54 % à Israël et le reste à la communauté internationale, mais Israël a assassiné le médiateur de l’ONU, violé cette résolution et occupé 79 % de la Palestine.
La résolution 194 dit que les réfugiés doivent rentrer et recevoir une compensation, mais Israël l'a interdit, et a donné le droit de retour aux Juifs, tout Juif qui entre dans l'aéroport Ben Gourion, y reçoit le droit de citoyenneté. Israël a installé entre 700 000 et 800 000 Juifs en Cisjordanie, et construit des dizaines de colonies.
La Convention de Genève a énoncé plusieurs protocoles, notamment sur le mode de traitement des lieux, des femmes, des lieux saints, des enfants, etc., auxquels Israël ne prête aucune attention. Il n’y a pas d’installations d’eau, d’électricité et de gaz, dans une telle situation, les Palestiniens doivent-ils se rendre ou se soulever ?
L'Aïd des Juifs dure une semaine et chaque jour, ils entrent dans la mosquée, violent le caractère sacré et dansent, alors que le Prophète (psl) a prié vers la mosquée Al-Aqsa, pendant 15 ans.
Israël a créé 22 bases autour de Gaza, et emploie des espions pour se fournir des informations, mais tout cela a été inutile lors de la Tempête d’Al Aqsa, le commandant de l'Armée a été identifié, arrêté et emmené à Gaza. Israël a immédiatement formé un cabinet d'urgence et envoyé 360 000 soldats de réserve.
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Netanyahu a déclaré qu’ils allaient changer le visage du Moyen-Orient, et bien qu'il n'ait pas dit comment, l'un de leurs plans est Gaza sans le Hamas, ce qui signifie que les forces armées doivent sortir et que cette région sera sous la domination d’Israël ou de Mahmoud Abbas.
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Le génocide et le nettoyage ethnique sont des concepts juridiques pour lesquels les dirigeants de ce régime devraient être poursuivis, mais en plus de ces crimes, nous avons assisté au meurtre d'enfants à l'hôpital Ma'madani, où un grand nombre de femmes et d'enfants s’étaient réfugiés.
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Aucun organisme juridique international n’a pris de mesures, nous vivons réellement dans une jungle. Il est honteux d’avoir passé toute sa vie à suivre ces concepts et ces accords, pour comprendre le système international, et d’être ensuite, témoin de ces crimes ».
