Lors de la cérémonie d’ouverture, le président de l’Université de Qom a souligné l'importance de la collaboration entre ces institutions, souvent isolées les unes des autres.
Sharifi a rappelé que de nombreux centres travaillent de manière indépendante, sans véritable réseau, ce qui limite les échanges et les synergies. L’événement représente une opportunité de recenser leurs capacités et de mettre en lumière le potentiel des centres iraniens d’études islamiques.
Plus de 500 revues académiques spécialisées en études islamiques ont été identifiées à travers le monde. Interconnecter ces publications permettrait de créer un réseau global d’experts et de stimuler une dynamique scientifique et culturelle, selon l'hojat-ol-islam Sharifi.
La conférence vise également à combler les lacunes et à répondre aux besoins spécifiques du domaine, tout en valorisant les réalisations académiques iraniennes, largement développées depuis la Révolution islamique.
Co-organisée par l’Organisation de la Culture et des Relations Islamiques et l’Université de Qom, la rencontre rassemble des représentants de 16 pays et des chercheurs iraniens, avec des discussions sur des thèmes variés comme la jurisprudence, la philosophie ou le mode de vie islamique.