Cependant, elle insiste sur l’importance d’organiser des rencontres pour permettre à ceux qui ne participent pas aux concours, mais qui s’y intéressent, de s’impliquer.
Elle remarque que les participants étrangers rencontrent des difficultés, notamment en récitation « Tartil » et dans les règles de pause et de reprise (« Waqf et Ibtida »), moins strictes dans certains pays. De plus, les critères d’évaluation varient entre les juges iraniens et étrangers, nécessitant un dialogue plus fréquent pour harmoniser les notations.
Enfin, Maryam Saeedi met en avant le rôle du Coran dans la spiritualité et la cohésion sociale, face aux défis économiques et familiaux. Elle insiste sur la nécessité d’accompagner les fidèles pour qu’ils trouvent dans le Coran et la tradition prophétique des solutions aux difficultés de la vie moderne.
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Le 41ᵉ concours international du Coran en Iran se déroule actuellement près du sanctuaire de l’Imam Reza, réunissant 57 représentants de 26 pays. Cet événement joue un rôle clé dans la diplomatie culturelle et religieuse de la République islamique d’Iran.