Selon Al Mayadeen, cheikh Naïm Qassem a souligné que l'Iran avait affirmé son autorité régionale et mondiale sans renoncer à ses principes ni reculer sur ses choix stratégiques.
Dans un discours prononcé à l’occasion du mois de Muharram, Qassem a souligné que le « plus grand péché » de l’Iran aux yeux de Washington et de Tel-Aviv est son soutien constant à la cause palestinienne, à Jérusalem et au peuple opprimé de Palestine. Ce soutien a transformé l’Iran en cible centrale pour les forces hostiles à toute forme d’indépendance et de résistance dans la région.
Il a affirmé que l’objectif principal des États-Unis et du régime israélien est d’anéantir tout mouvement œuvrant pour la libération de la Palestine et la fin de leur hégémonie. Pourtant, selon lui, l’Iran a réussi à déjouer les trois objectifs déclarés de l’agression : stopper l’enrichissement d’uranium, affaiblir le programme balistique et provoquer un changement de régime.
Cheikh Qassem a ajouté que grâce à sa souveraineté décisionnelle, l’Iran a consolidé sa place dans la région et sur la scène internationale. Il a réaffirmé que le Hezbollah reste aux côtés de l’Iran dans son combat contre l’occupation et l’hégémonie américaine, refusant toute forme de reddition ou de compromis. La résistance, dit-il, repose sur la responsabilité, le refus de se soumettre et le devoir de bâtir une patrie digne, fût-ce au prix de grands sacrifices.
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