Selon mapexpress, cet événement, tenu sur trois jours sous l’égide du secrétariat général de la Fondation, vise à approfondir le lien spirituel entre les jeunes générations musulmanes d’Afrique et le Livre sacré.
Au total, 117 candidats et candidates, issus de 48 pays africains, s’affrontent dans cette compétition coranique. Parmi eux, figurent 13 femmes. Les participants sont répartis en trois catégories de compétition :
mémorisation intégrale avec récitation selon la narration Warsh ‘an Nafi‘ ;
mémorisation intégrale avec récitation selon diverses lectures et narrations ;
Tajwīd, avec mémorisation d’au moins cinq hizb.
Une commission composée de savants et de récitateurs venant du Maroc, de la Mauritanie, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Nigeria, du Tchad, de la République centrafricaine, du Soudan, d’Éthiopie, de Tanzanie et de Somalie supervisera les évaluations. Par ailleurs, une équipe technique centrale à Fès, en coordination avec les techniciens des différentes branches, assurera la diffusion de la compétition via Zoom.
Cette démarche s’inscrit dans la mission plus large de la Fondation : renforcer la transmission des valeurs de l’islam, valoriser le savoir coranique en Afrique et promouvoir l’unité spirituelle à travers la langue du Coran.