Cette démarche fait suite aux dernières nouvelles, de jeunes canadiens partis en Syrie pour rejoindre les rangs des djihadistes, qui font les manchettes.
Les membres de ce groupe refusent que ces gestes soient associés à la religion musulmane.
Pour Marwa Farhat, membre de « Musulmans pour la paix », les personnes radicalisées ne sont pas des musulmans, mais bien des personnes qui ont subi un lavage de cerveau.
La mosquée Al-Hadi d'Edmonton entend propager le même message de paix. La communauté organise des rencontres, dont la prochaine aura lieu dimanche, ouvertes à tous ceux qui veulent en apprendre davantage sur le Coran.
Il s'agit d'une manière de faire tomber les préjugés, selon le directeur de la mosquée, Mohyuddin Mirza.
Il ne veut plus que les mots islam et musulman soient associés à la violence, insiste-t-il.
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