Attaques contre les symboles de l'Ashoura traduisent la tyrannie confessionnelle à Bahreïn

Le responsable du département de l'observation et de la documentarisation de l'organisation euro-bahreïnie des droits de l'homme a estimé que l'interdiction de l'organisation de la prière du vendredi et les attaques contre les symboles de l'Ashoura venaient de la tyrannie confessionnelle exercée par le régime des Al Khalifa contre le peuple bahreïni.

Selon le site d'information Manama Post, Ahmad as Saffar, qui s'exprimait dimanche sur sa page tweeter, a indiqué : "Les attaques menées contre les symboles de l'Ashoura est la politique systématique programmée par le régime des Al Khalifa depuis 2011, politique qui manifeste l'irrespect témoigné par le régime envers la liberté des chiites."
Dans son message, il ajoute : "L'interdiction de la prière du vendredi et des drapeaux noirs et des symboles de l'Ashoura fait état de la violation continue de la liberté religieuse garantie dans les conventions internationales et le manque de respect de la part des responsables bahreïnis pour la liberté des disciples de l'école des Ahl el Bayt (as)."
A rappeler que les militaires du régime des Al Khalifa, dans le cadre de leurs politiques discriminatoires contre les chiites, ont pris pour cible, au seuil du mois de mouharram, les symboles de l'Ashoura, dans différentes régions de Bahreïn.
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