Cette décision a été prise après avoir constaté que la radio a proféré des insultes, des contrevérités, des contenus qui portent atteinte à la dignité des citoyens, des incitations à la haine et à la violence, contrairement aux dispositions de la Constitution, des conventions internationales et des lois en vigueur, notamment le décret-loi 116, a souligné la même source.