Selon Islamic Human Rights Commission, en Août 2019, après le retour du Cheikh Zakzaky et de son épouse de l’Inde, où ils s’étaient rendus pour un périple de traitement, les autorités nigérianes ont confisqué leurs passeports.
Bien que le Haut Tribunal de Kaduna ait donné l’ordre de leur libération le 28 juillet 2021, les responsables s’abstiennent toujours de leur rendre les passeports.
Le Haut Tribunal Fédéral du Nigeria devait s’occuper samedi du dossier des passeports du cheikh Zakzaky et de son épouse, mais la séance a été reportée sans fournir aucun éclairage.
Leurs avocats soutiennent que la rétention de leurs passeports revient à imposer des restrictions à leur liberté de mouvement qui est garantie par la constitution du pays.