
Samah, intellectuel, écrivain, romancier et traducteur libanais était depuis 2002 un membre fondateur de la campagne boycottant les protecteurs du régime sioniste.
Il était connu à travers le monde en raison de ses activités dans le sens du rejet de la normalisation des relations avec les sionistes et de la sensibilisation des gens sur la nécessité de boycotter les sionistes.
Malgré l’argent qui coulait depuis les pays du Golfe Persique vers la presse et les médias et en dépit de l’influence américaine dans les milieux intellectuels et la tendance pour le régime sioniste, Samah n’a jamais changé de position dans son soutien à la résistance libanaise et à la cause palestinienne.
Cet écrivain libanais avait pour slogan « Si nous abandonnons la Palestine, nous avons abandonné nous-mêmes ». Le cancer ne lui a pas laissé de temps et quelque temps après le début des traitements, il se sépara de la famille et des amis.
Samah était le fils de Soheil Idris, fondateur de « Dar ul Adab », l’une des plus importantes revues littéraires et intellectuelles du monde arabe. Après le décès de son père, Samah s’était chargé de la direction de la revue.
Sa mère, Ayida Matraji était écrivain et une traductrice de grand renom.