L’Hodjat-ol-islam Mohammad Mehdi Imanipour, chef de l'Organisation de la culture et des relations islamiques, lors de la cinquième série de dialogues interculturels entre l'Iran et l'Italie, a déclaré : « Les relations entre la République islamique d'Iran et l'Italie, fondées sur l'héritage commun et les racines historiques des deux pays, riches et anciens, sont axées sur la culture, les relations scientifiques et culturelles, la lutte contre l'extrémisme religieux et le rôle des sciences humaines et sociales, et cette discussion est principalement axée sur « Le rôle de la technologie dans la protection du patrimoine culturel ». Le développement des technologies de pointe et des nouvelles installations permet aujourd’hui, la numérisation du patrimoine culturel des pays, et a ouvert la voie aux fouilles, à la recherche et à la restauration du patrimoine culturel. Au cours de la pandémie, nous avons assisté à une croissance des visites virtuelles de musées et il convient de noter l'impact positif des nouvelles technologies sur la préservation du patrimoine culturel immatériel, comme les coutumes et les caractéristiques culturelles des différents pays. J’espère que le dialogue interculturel entre les deux pays, sera l'occasion de transférer des expériences et d’ouvrir la voie à une future coopération culturelle dans ce nouveau domaine. La République islamique d'Iran avec une civilisation et une culture de plusieurs milliers d'années, et grâce aux enseignements islamiques, considère le dialogue et les relations culturelles avec les autres pays, comme le moyen le plus efficace d'améliorer la coopération. Le discours interculturel de l'Iran et de l'Italie s’inscrit dans cet objectif et à pour but de promouvoir la compréhension mutuelle et de renforcer l'amitié entre les deux nations et les deux gouvernements ».
Cette cinquième série de dialogue interculturel entre l’Iran et l’Italie, était organisée par l'Encyclopédie italienne Treccani, avec la participation de l'Association internationale d'études méditerranéennes et orientales (ISMEO), de l’université de Téhéran, de l’université Sapienza de Rome et de l'Institut culturel de recherche sur le patrimoine et le tourisme.
Les conférenciers ont présenté des discours sur la préservation du patrimoine et des sites culturels au XXIe siècle, les nouvelles technologies dans la recherche archéologique, la restauration et la préservation des sites architecturaux et archéologiques.