Selon l'Organisation iranienne pour la culture et les relations islamiques, et d'après le rapport envoyé par la représentation culturelle de l'Iran à Istanbul, le livre "Des droits de l'enfant en Islam", écrit par Ghodratollah Ansari, a été traduit en turc par Hassan Karabulut et Alp Arslan Güler, et publié en 1000 exemplaires par les éditions Media Ahl al-Bayt (AS) sous forme d'un ouvrage de 300 pages.
Dans l'introduction de cet ouvrage, il est mentionné : "La société humaine est comme un jardin où différentes fleurs et jeunes pousses lui confèrent beauté et attrait. Les enfants sont les bourgeons et les jeunes pousses de ce jardin, leur présence apporte de la vitalité au jardin et anime la floraison de la création. La nature particulière des enfants et leurs caractéristiques individuelles et sociales imposent aux autres, que ce soit les parents ou les institutions sociales, de redoubler d'efforts pour les protéger et les préserver."
Ce livre se distingue par le fait qu'il compile les règles juridiques, éthiques et les droits des enfants dans une collection en deux volumes, utilisant une approche juridique basée sur des arguments. En plus des règles et des droits directement liés à l'enfant, tels que les actes de dévotion, le droit à l'entretien et le droit à l'éducation, il aborde également les devoirs et obligations des parents et des autres envers l'enfant, comme la tutelle paternelle et grand-paternelle sur les biens de l'enfant. De plus, pour les droits de l'enfant souvent considérés comme des questions éthiques, comme l'éducation et la formation, des bases et des arguments juridiques ont été présentés afin de clarifier la responsabilité des parents et des autres dans cette tâche très importante et de les inciter à s'y engager.
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