Il a indiqué : « Au 3ème et 4ème siècles de l’hégire, de nombreuses recherches ont été faites dans ce domaine avec l’aide des enseignements des Saints Imams (AS). »
Le directeur du centre « Coran et Itrat » du ministère de la santé a ajouté : « L’hygiène individuelle et sociale était une des principales préoccupations scientifiques de cette époque, et de nombreux ouvrages de scientifiques musulmans comme Avicenne, ont été diffusés dans toute la région ainsi que des ouvrages de scientifiques iraniens, sur la médecine de l’Inde et de la Chine. »
« Ces recherches, a-t-il souligné, doivent se poursuivre en fonction des besoins de notre époque. La médecine islamique est une médecine de prévention alors que la médecine moderne est plutôt à la recherche de profits pour les compagnies pharmaceutiques. »
« La meilleure règle pour la santé, est celle de l’islam qui préconise une consommation mesurée, et l’abandon des médicaments chimiques qui ont des mauvaises conséquences sur la santé », a-t-il dit.
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