Dans une déclaration liminaire, elles exhortent « les institutions telles que l’armée, la police, la gendarmerie et la douane à permettre à leurs recrues musulmanes de respecter les recommandations divines notamment dans leurs comportement vestimentaires ». Lors de la journée de célébration de la Journée internationale du Hijab, Rokhaya Sène a assuré que « la compétence est plus important que le port vestimentaire » dans le journal Le Quotidien.
Une requête qu’elle juge légitime et à laquelle les autorités ne vont pas manquer à exécuter pour « le bonheur de toutes ces dames voilées envieuses d’intégrer ces corps mais aussi une bonne chose pour l’image de ces corps ». Toutefois, elles ont magnifiés la décision à leur rencontre de pouvoir s’inscrire au fichier pour les nouvelles cartes d’identité sans enlever le hijab.
senego
D'après tous nous sommes des musulmanes et on veut réaliser nos rêves