Les participants ont abordé plusieurs sujets comme les conflits confessionnels dans le monde de l’islam, le discours haineux des médias, la nécessité d’une révision des bases culturelles et idéologiques, et les perspectives de l’islam au 21ème siècle.
Marwan al-Fa’ouri, directeur de l’Association islamique modérée de Jordanie, dans un discours, a déclaré que cette conférence devait apporter des solutions pour sortir de la crise qui touche le monde de l’islam.
Abdel Fattah Mourou, premier vice-président de l'Assemblée des représentants du peuple tunisien, a déclaré qu’il fallait faire disparaitre les fausses idées sur l’islam et les musulmans, et présenter l’islam qui depuis des siècles, invite à la bonté et à la tolérance.
Abdoul Latif al-Hamim, directeur du Centre irakien sunnite des Oqafs, a déclaré que les musulmans étaient accusés de toutes sortes de crimes et que le monde arabe était divisé, mais que l’islam sortirait vainqueur.
Ali Mohi-o-din Daghi, président de l’Association mondiale des ulémas, a déclaré que les groupes terroristes n’avaient rien à voir avec l’islam et étaient des créations occidentales pour dénaturer l’islam et diviser le monde musulman qui jusqu’ici avait toujours été un exemple de cohabitation pacifique et de tolérance.