Le site d'information libanais alahednews a publié à l'occasion de l'anniversaire du martyre du général Hadj Qassem Soleimani, ancien commandant des Forces de Qods du Corps des gardiens de la révolution islamique, une vidéo sur les déclarations des ennemis du martyr Qassem Soleimani, pendant ses années de combat contre les terroristes de Daesh, dans la région d'Asie occidentale.
Le film intitulé « Le chevalier de Jérusalem aux yeux de la presse occidentale », fait brièvement référence à certaines descriptions de Soleimani dans la presse américaine et européenne.
L'hebdomadaire américain Newsweek en 2014, a publié une photo du Général Qassem Soleimani sur sa couverture, et a écrit : « Il a d'abord combattu les États-Unis et maintenant il anéantit Daesh ».
Ce magazine politique américain dans un rapport sur les développements en Irak après le renversement du régime baasiste, a qualifié Qassem Soleimani de « Dieu de la vengeance » et de « commandant suprême et grand stratège ».
En décembre 2016, le journal français « Le Figaro » a qualifié Sardar Soleimani pour son rôle dans la bataille d'Alep en Syrie, de « grand commandant très stratégique ».
Dans un reportage, le journal français « Le Monde » a félicité Sardar Qassem avec une photo du général en prière, l'appelant « l'homme le plus fort du Moyen-Orient » et le « Che Guevara iranien ».
« Il est mon ennemi, mais j'ai un respect particulier pour lui. Nos commandants devraient avoir le même courage. Sa moralité et son comportement l'ont rendu très populaire auprès de ceux qui sont sous ses ordres », avait également déclaré l'ancien président américain, Barack Obama, dont l'administration a joué un rôle de premier plan dans la formation de Daesh, lors d'une réunion avec le Premier ministre irakien, Haidar al-Abadi, en 2014, à propos du Général Soleimani.
L'ancien secrétaire d'État, John Kerry, lors d'une réunion avec Mohammad Javad Zarif, a dit : « J'aimerais voir Qassem Soleimani de près, au moins une fois ».
Le journal britannique The Guardian a cité David Petraeus, ancien chef de la CIA, disant que Soleimani était « l'homme le plus effrayant du Moyen-Orient, un ennemi très capable, ingénieux et digne, qui joue bien, mais que comme c'était un long match, il fallait attendre pour voir comment les choses se passeront ».
« Le général Soleimani est sur la liste des 10 meilleurs théoriciens militaires et sécuritaires au monde », avait écrit le magazine américain « Foreign Policy » à propos du martyr Soleimani.
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