Selon le site d’information Joy Online, cette conférence de trois jours était centrée sur le rôle des dirigeants musulmans dans le développement du pays, et les participants, imams et chefs religieux, ont été chargés d’œuvrer en vue de mettre en place une structure comprenant des processus de substitutions des chefs.
Le cheikh Moustafa Ibrahim qui représentait le chef des musulmans ghanéens, a indiqué lors de la cérémonie finale que l’existence de telles structures, éviterait le chaos et des conflits, au moment où la succession s’impose.
Ibrahim qui dirigeait la cérémonie de clôture a souligné : « Il ne faut pas attendre la disparition d’un chef religieux pour annoncer son successeur, mais cela doit se faire pendant sa vie, afin d’éviter les problèmes ultérieurs. »
La conférence se tenait à Sunyani, avec la participation de tous les 16 chefs musulmans des différentes régions du Ghana, d’une délégation du bureau du chef des musulmans du Ghana et de plusieurs imams de mosquées.