Le grand Ayatollah Seyed Ali Khamenei, chef suprême de la révolution islamique d'Iran, a déclaré à propos du martyr Hadj Qasim : « Hadj Qasim avait un esprit de sacrifice et d'altruisme, telle ou telle nation ne comptait pas pour lui. Hadj Qasim n'avait peur de rien dans le chemin de Dieu et faisait son devoir et le jihad pour l'amour de Dieu, sans avoir peur de l'ennemi, de ce que diraient les gens ni des difficultés. Le martyr Abu Mahdi était un homme éclairé, fidèle et courageux, dont le visage reflétait la lumière de la foi. Le martyr Soleimani a pu faire de grandes choses grâce à des personnes comme lui, fidèles, courageuses et éclairées ».
Le Grand Ayatollah Sistani, l'autorité religieuse chiite d’Irak, a également déclaré : « Le rôle unique de Sardar Hadj Qasim Soleimani pendant les années de combat avec des éléments de Daesh en Irak, et ses grands efforts sont inoubliables ».
Seyed Hassan Nasrallah, secrétaire général du Hezbollah libanais, a dit à son sujet : « L’école de Hadj Qasim signifie aller sur le terrain des opérations et sur le terrain d'action. Sur le terrain, a fait voir et entendre à tous les frères, les paroles des combattants et des moudjahidines ».
Cheikh Issa Qassem, chef spirituel de la révolution bahreïnie, a déclaré à propos de ces martyrs : « Je suis profondément fier du martyr Hadj Qassem Soleimani et du martyr Abu Mahdi Al-Mohandes, qui n’étaient pas attachés à ce monde et avaient les yeux fixés sur le ciel ».
Le Cheikh Abu Awn, mufti de Gaza, a déclaré : « Le martyr Soleimani était un leader international. Depuis vingt ans, il travaillait à la construction d'un axe de résistance non seulement à Gaza mais dans tout le monde arabe ».
Cheikh Abu Awn militant politique et social, et leader du mouvement altermondialiste en Russie, a déclaré que le nom du général Soleimani était gravé en or dans l'histoire de la lutte contre le terrorisme international, et ne sera jamais effacé.
Le Cheikh Maher Abdul Razzaq, universitaire sunnite et chef du Mouvement libanais pour la réforme et l'unité, a déclaré : « Sardar Soleimani n'était pas seulement le commandant des Forces de Qods ou un général iranien, il était aussi le père spirituel des djihadistes et des mouvements de résistance dans le monde ».
Sayed Ammar al-Hakim, chef du Mouvement de la sagesse nationale irakienne, a déclaré : « Ces deux martyrs ont passé la majeure partie de leur vie dans le djihad et le sacrifice, et ont joué un rôle central sur les champs de bataille contre le terrorisme et la victoire sur le groupe terroriste de Daesh ».