L’égalité des droits dans le Coran
Les devoirs que Dieu a imposés à l’homme, notamment l’entretien de la famille et le mahr, sont très difficiles, car l’homme doit travailler pour subvenir aux besoins de sa femme et de ses enfants.
L'un des sujets soulevés au cours des dernières décennies, après les mouvements féministes, est la question de l'attention que la religion accorde aux hommes et aux femmes.
Selon le point de vue du Coran, les hommes et les femmes sont semblables dans la création, les décisions, les récompenses et les punitions.
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Le Coran considère la création de l'homme et de la femme à partir d’un même souffle, contrairement aux Juifs qui disent que la femme a été créée à partir de la côte gauche de l'homme. Dans des rapports historiques, on dit qu'à une époque du christianisme, une conférence de plusieurs jours s'est tenue, dont le résultat fut que les femmes sont des êtres « entre les animaux et les humains », car elles ne comprennent pas tout.
Dans certaines religions du passé, les gens croyaient que la punition et la récompense des femmes n'étaient pas les mêmes que celles des hommes, et que si elles faisaient le bien, elles seraient récompensées deux fois moins que les hommes, ce que le Coran a clairement réfuté.
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Bien entendu, le devoir de soumission (répondre aux exigences sexuelles légitimes de l'époux) incombe à la femme, et certains ont même cité la nécessité d’une autorisation pour quitter la maison. Si par exemple, la garde (le droit ou le devoir d’entretenir et de prendre soin d’un enfant) est confiée à un homme, il s’agit d’un devoir et non d’un droit, parce que la garde nécessite de prendre en charge les dépenses de l'enfant, responsabilité que l’Homme peut laisser à la mère.
Le Prophète (psl) a conseillé de respecter les droits des femmes et des esclaves et l’Imam Sadegh (as) a dit que la plupart des habitants du Paradis seront des femmes et des opprimés. L'Imam Ali (as) considérait les femmes comme un dépôt de Dieu aux mains des hommes. L’islam déclare qu'un homme n'a pas le droit de frapper sa femme et qu’il faut traiter les filles avec plus de gentillesse que les garçons.
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Après la bataille de Jamal, l'Imam Ali (as) a dit que les femmes ont une foi et un intellect imparfaits, déclarations dont certains ont beaucoup abusé, alors que l'Imam a fait cette déclaration dans une situation où une femme avait commencé la bataille de Jamal où de nombreux musulmans ont eu des doutes et où les croyances de l’époque de l’ignorance ont été ravivées.
De plus, si ce manque de foi est dû aux menstrues, elles peuvent réparer les jours qui n’ont pas été jeunés, afin que le défaut soit éliminé, il est donc clair que l’Imam faisait allusion à autre chose.
Extrait du discours de Seyed Mahdi Narimani lors de la réunion sur l'Islam et les femmes
