Ce geste s'inscrit dans une tendance croissante parmi les athlètes du monde arabe et musulman, qui refusent de participer à des compétitions contre des adversaires israéliens en signe de solidarité avec la Palestine et de protestation contre les actions du régime israélien.
Ce type de boycott a été observé à plusieurs reprises lors de grandes compétitions internationales. Par exemple, en 2024, lors des Jeux olympiques de Paris, les judokas Abderrahmane Boushita du Maroc et Nurali Emomali du Tadjikistan ont refusé de serrer la main de leur adversaire israélien.
Des cas similaires ont eu lieu aux Jeux olympiques de Rio en 2016 et de Pékin en 2008, où des athlètes de pays comme l'Égypte et la Syrie ont également refusé d'affronter ou d'interagir avec des adversaires israéliens.