Ryad(IQNA)-Alors que l’effervescence règne au sein de l’Université de Birmingham, au royaume de Sa Gracieuse Majesté, depuis l’annonce officielle, mercredi 22 juillet, de la découverte exceptionnelle, presque miraculeuse, de l’une des plus anciennes versions manuscrites du Saint Coran dans sa bibliothèque, c’est une agitation d’une toute autre nature qui s’est emparée d’éminents savant saoudiens, plus enclins à réfuter la datation du parchemin en question qu’à l’applaudir des deux mains.
Code de l'info: 3337697 Date de la publication : 2015/08/02